MORIN Charles-Hubert
Expérience :+ de 10 ans
Fiche modifiée le : 15/11/2019
Après des études de cinéma achevées en 2007 au sein de l’ESRA Bretagne, je deviens opérateur de prise de vue en participant à plusieurs dizaines de films institutionnels. Dès cette période, mû par ma passion première pour l’image de cinéma, je travaille en parallèle à la photographie de courts-métrages et de clips, en France et au Maghreb. On me confie alors à plusieurs reprises l’image de séries et de téléfilms ; continuant ainsi mon apprentissage du métier de chef opérateur sur des tournages de plusieurs mois. Pour autant, je ne délaisse pas les courts-métrages, avec notamment « Old Love Desert » (2012) de Jonathan Millet, tourné en Super 16mm dans le désert de Ouarzazate. En 2015, je signe la photographie du long-métrage « Headbang Lullaby » de Hicham Lasri, sélectionné lors de la Berlinale 2017, et reçois en septembre 2018 le prix de la meilleur photographie au « Festival Internacional ADF-Lumiton de Fotografía Cinematográfica ». Également intéressé par le documentaire, j’embarque à deux reprises avec le réalisateur Corto Fajal, pour la petite île de Tikopia, isolée aux confins du Pacifique Sud. Ces expéditions aboutiront au long-métrage « Nous, Tikopia » (2018). A l’occasion d’ESTRAN 6, je collabore avec Claire Barrault au film « T’es con Simon » (2015). Travail qui se poursuivra en 2018 avec le second court-métrage de Claire : « Hasta Luego ». En 2017, à Tunis, je photographie un nouveau long-métrage : « Fataria ». Réalisé par Walid Taya (sorti dans les salles tunisiennes en septembre 2019).
Particulièrement intéressé pas la question technique, et comment celle çi travaille la forme cinématographique, j’entre en 2013 à la CST (Commission Supérieure Technique de l’image et du son) et suis également membre du laboratoire associatif l’Abominable qui œuvre à la préservation des machines et des techniques du cinéma argentique.
